Collection Dominant Domine. Orages DÉté. (1/14)
Quand je sors du centre commercial de Pontault-Combault où jai été acheter une jolie paire de chaussures dans la galerie marchande lorage menace.
Depuis trois jours il fait une chaleur étouffante et je sens quil monte à la teinte que prennent les nuages.
Il me faut bien rentrer à Lésigny où avec Claude, mon mari, nous possédons une jolie petite propriété mitoyenne avec le parcours de golf très connu dans la région.
Nous lavons acquise, il y a deux ans alors que nous sommes mariés depuis dix-huit ans lâge de mes deux aînés.
Au début de notre union nous avons vécu dans la petite maison mitoyenne à celle de mes beaux-parents.
Ils ont vendu pour partir prendre leur retraite au soleil à Montpellier nous obligeant à prendre des décisions.
Je dis bien mes deux aînés, car javais dix-sept ans à mon entrée à la fac de Dijon après mon bac quand jai rencontré celui qui allait devenir mon mari.
Ce fut immédiatement le coup de foudre et maman qui hélas a disparu depuis dune maladie foudroyante, voyant que je mintéressais à ce garçon était certaine de me protéger en me faisant prendre la pilule, mais il paraît que jai fait partie des cas où elle est inefficace.
Sauf mon mari et mes trois s, je suis seul au monde depuis, car mon père lavait abandonné et jignore où il vit.
Lorage me stress, ce qui rend mes pensées confuses.
Je me suis marié avec Claude qui se prénomme ainsi car ma belle-mère était fan du chanteur disparu, jai trois s dont les deux garçons jumeaux.
Claude étant fan du général, nous les avons appelés Charles-Antoine et Charles-Édouard.
Un an après cest par envie que nous avons vue venir dans notre foyer ma fille Emmanuelle prénom que jai choisi non pas à cause du film en vogue lors de sa naissance, mais car ce prénom fait partie des plus beaux souvenirs de ma vie quand jai emménagé dans une chambre détudiante à Dijon avec Emmanuelle qui ma ouvert aux plaisirs des corps féminins.
Claude avec laide financière de son père directeur de banque dans le XIIe arrondissement a créé une entreprise en pleine expansion travaillant dans le monde entier et surtout aux USA où il est parti jusquà samedi après-midi depuis hier me laissant seule à Lésigny.
Je suis seule, mes deux garçons étant toute lannée chez leurs grands-parents à Montpellier pour faire leurs études avant de venir aider leur père et prendre la suite dans plusieurs années, Charles-Antoine ayant un petit problème de santé nécessitant beaucoup de soleil alors quEmmanuelle est au Bénin avec notre autorisation pour une mission humanitaire pour deux ans avec lassociation quelle a intégrée en début dannée.
Quand jai parlé dEmmanuelle mayant aidé à mouvrir aux plaisirs lesbiens, jétais en vacances en randonnée en Corse avec elle quand nous avons fait la connaissance dans un camping de deux garçons Claude et Adrien.
Avant de nous retrouver ensemble en fac, elle habitait près dAuxerre et moi près de Macon.
Cest le deuxième soir que lors dun orage comme celui qui se prépare que jai atterri par peur dans son lit et dans ses bras.
Ma chatte jusquà ce moment mavait bien fait comprendre quelle était là, mais cest sans commune mesure avec les orgasmes que sa main et sa bouche mont procurés.
Je me croyais lesbienne à vie, mais quand jai dansé ce soir-là avec Claude, mon cur a battu comme jamais et le soir même, je me suis retrouvé dans sa toile de tente avec les cuisses bien écartées pour que dès que jai senti mon hymen éclater, il aille le plus profondément en moi.
Mes jambes entouraient sa taille pour que jusquà la fin de notre vie, nos corps restent soudés.
Il avait déjà eu des maîtresses qui lui avaient appris son métier dhomme et dès ce moment-là, il a été celui qui ma appris tout ce que je sais à ce jour des amours entre un homme et une femme.
Jadore quil me prenne en levrette et nous avons après notre mariage acheté le Kama sûtra et nous adorons essayer les positions suggérées.
Au fil du temps nous avons gardé les positions les plus faciles à pratiquer sans risquer de nous retrouver à lhôpital après un blocage ou une fracture.
Je suis contente de mon homme tout au long des jours reste mon amant plus que mon mari.
Une fois pris dun délire il ma caressé la rosette mais cest la seule fois car ma réprobation a été tel quil a renoncé définitivement.
Mais cette première fois suivie de quelques autres malgré les précautions prises par ma maman, jai accouché de mes fils ayant quitté Emmanuelle et Dijon pour la capitale et mes beaux-parents pas très contents de me voir débarqué dans leur vie.
Jai mené de front mes études et ma grossesse jusquà intégrer la fac de Vincennes comme professeur de Français.
En ce moment je sors du super marché peu enclin à rejoindre ma voiture et rassurée par le bâtiment quand des éclairs et des coups de tonnerre montrent que lorage est sur nous.
À mon côté une jeune fille noire dune vingtaine dannées regarde, elle aussi lorage, mais semble plutôt contente de voir les éclairs sans comme moi être stressée.
Jai même limpression que si elle avait eu les mains-libres au lieu de porter deux bouteilles deau, elle aurait applaudi chaque fois que cela claque.
Un quart dheure et la pluie ralentie, je pars à droite retrouver ma voiture, la jeune femme me croise pour partir à gauche, il tombe encore des gouttes et nous manquons de nous percuter, un sourire et nous reprenons notre route.
Dès que je démarre, le parc de stationnement est si vaste que je me trompe et je me retrouve au coin opposé de la sortie où personne ne se gare..
Alors que je vais pour repartir, je vois la jeune femme croisée en sortant du super marché sous le hayon de sa voiture.
Je remarque le premier geste quelle fait quand elle verse de leau sur un gant de toilette et quelle se le passe sur la figure.
Je reste ou je suis et je lobserve ayant conscience de jouer les voyeurs.
Elle remet de leau de la bouteille achetée et en regardant que personne la regarde, elle le passe dans la ceinture de son pantalon et semble se laver la chatte.
Jen ai confirmation quand elle rince le gant et quelle recommence lopération.
Elle sort du coffre un vêtement à manches longues et enlève rapidement son débardeur me montrant ses jolis seins même sils sont éloignés et met un vêtement à manches longues.
Javais entendu dire que des personnes et même des femmes vivaient dans leur voiture, jen ai confirmation en ayant une devant les yeux.
Je redémarre et je mavance jusquà elle.
Bonjour mademoiselle, vous mexcusez davoir joué les voyeurs, mais vos gestes mont intrigué.
Je pense que vous êtes dans une situation difficile, puis-je vous proposez de venir prendre une douche chez moi, mon mari est absent et vous pourrez prendre tout votre temps, jhabite à cinq minutes en voiture.
Je vous remercie, mais je vais me débrouiller seule, jai pris lhabitude depuis ces derniers mois que je suis en galère.
Même ma voiture me lâche, elle refuse de memmener plus loin, alors vous pensez jusque chez vous.
Jouvre la portière à mon côté.
Venez, nous ferons le nécessaire depuis chez moi, jhabite à Lésigny.
Je vous suis, mais vous savez, je sens le fennec et je vais empester votre voiture.
Allez, on évite les chichis, nous sommes entre femme et je vous promets déviter de vous violer.
Elle ferme son coffre et monte dans ma voiture.
Arrivé, je déclenche louverture de la porte automatique.
Vous avez une belle maison, je rêve davoir la même, mais cela restera un rêve.
Vous devez avoir une bonne situation.
Je suis professeur de Français à la faculté de Vincennes et mon mari est un industriel, il est parti huit jours aux USA pour signer un gros contrat qui va nous mettre à labri des soucis jusquà la fin de notre vie.
Veux pieu, moi aussi il y a quelques mois, jétais sûr dêtre à labri, mais quand ma patronne ma licencié pour faute grave après une cabale quelle ma montée, je le suis retrouvée chômeuse sans indemnité.
Cette salope a présenté un témoin qui a certifié mavoir vu la frapper alors que jétais en colère.
Cest dégueulasse, il faut lui couper les couilles, mon mari sait se tenir avec son personnel lui.
Bien sûr, cest une patronne, cest plus difficile.
Une fois garé je lentraîne vers la maison.
On se tutoie, ce sera moins solennel.
Tu veux un café avant daller à la salle de bain.
Si cela est possible plus vite, je sentirais de leau sur tout mon corps et mieux je serais.
Alors suis-moi à létage, tu vas prendre un bon bain, je vais te le préparer avec des sels qui embaumeront ta peau.
Pas de chichi, cest déjà gentille que tu maies fait cette proposition.
Alors, je monte tout préparer, suis-moi.
Je remplis la baignoire et je prépare un peignoir dami pour quelle lenfile.
Je lai fait monter et je sors pudiquement de la salle pendant quelle se déshabille.
Je veux éviter quelle pense que je suis une maniaque des culs féminins prêts à tous pour lui gober le vagin comme jaimais le faire à Emmanuelle, il y a quelques années.
Dès que jentends, quelle barbotte je frappe et entre prendre ses affaires quen bonne ménagère, jamène dans ma salle de linge où je les place dans la machine à laver que je démarre.
Jai un léger trouble à manipuler sa petite culotte qui doit attendre son tour, car les textiles sont incompatibles.
Les premiers coups de tonnerre dun deuxième orage encore éloigné se font entendre.
Jai peur, mais la présence de mon invité dont le prénom mest inconnu me calme un peu.
Je remonte et je passe la tête, elle est debout et se rince me permettant de voir sa plastique parfaite.
Je mappelle Juliette et toi sil te plait.
Nous sommes bêtes, je te fais voir mon cul, mais joublie de te dire que je mappelle Angélique.
Je descends, rejoins-moi dans la salle, je vais apporter le café.
Un éclair vite suivi dix secondes après par un coup de tonnerre illumine la pièce.
Je suis effrayé, mais jarrive à préparer le café que je pose avec le sucre et du lait sur la table du salon.
Cest quand je pose lensemble quAngélique arrive les pans du peignoir assez entrebâiller pour que je puisse admirer la ligne de ses seins.
Elle arrive à mon côté alors que jallais masseoir pour remplir les tasses quand un éclair, un halo vert et le tonnerre entremêlé frappe à la hauteur de la maison.
Un grand craquement se fait entendre alors quen moins de temps quil nen faut, je me suis réfugié dans les bras de mon invitée.
Elle me reçoit avec plaisir, semble-t-il alors quelle pourrait me relâcher, cest fermement quelle me tient mempêchant de méchapper.
Je connais le goût des lèvres dune fille sur les miens et cest avec plaisir que je les reçois surtout quelles sont suaves et que jaime.
Le coup de tonnerre qui suit, moins fort me fait lentraîner sur le sofa qui apprécie de nous recevoir et cest sans problème quelle quitte mes lèvres pour mouvrir le chemisier et après lavoir sortie lèche et mordille le premier de mes seins qui est à sa portée.
Est-ce la peur ou lenvie qui font que le reste de mes vêtements senvole sans que je men aperçoive et que nue, sa bouche descende jusquà ma fourche qui sécarte pour la recevoir.
Dans le kama sutra mon clito est souvent sollicité, mais le plaisir quAngélique me procure me transforme en chienne lubrique qui en veut toujours plus.
Ses doigts sa bouche vont de ma chatte à mon anus sans sarrêter.
Lorgasme qui me dévaste a dégal à tout ce que jai connu avant ce jour quil coïncide avec une troisième vague dorage qui succède à la précédente et qui frappe très prêt me tétanisant par le plaisir qui mest apporté
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